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Contruisons le Togo

5 janvier 2014

QUEL EST VOTRE COMBAT AUJOURD’HUI ?

 

Nombreux, sinon tous, sont nos politiques qui à longueur de journée ne cessent de ressasser à qui veut les entendre, leur volonté pour le bien être de la population.

Tous personne qui entreprend, espère la réussite de son entreprise. Mais il ne suffit pas d’entreprendre moins encore de se limiter à l’espérance. Il faut UTILISER LES MOYENS et  STRATEGIES pour y arriver.  Aujourd’hui la question se pose. De quels moyens, de quelles stratégies dispose notre classe politique dite de l’opposition pour l’alternance qu’elle ne cesse de réclamer ? Le constat est amer. Nos opposants sont devenus des torpilleurs qui s’entre-torpillent. La Sainte Bible est formelle : Tout royaume divisé contre lui-même est dévasté, et toute ville ou maison divisée contre elle-même ne peut subsister (Matt.12 :25)

L’union ne fait pas seulement la force mais l’union s’appelle force. Nos leaders manquent de stratégies. Irritation, les injures, les invectives sont des signes visibles de cette manque. S’ils ne peuvent pas se remettre en cause et faire l’autopsie sans complaisance de leur échec vers l’alternance depuis plus de 20ans de combat alors qu’ils abandonnent la politique et s’adonner à autre chose pourquoi pas les hommes de Dieu pour sauver les âmes.

On a marre des luttes stériles ! Un leader est un rassembleur c’est pourquoi ne peut être leader qui le veut. Jean Pierre Fabre et sa troupe doivent le savoir. L’arrogance et l’autosuffisance mènent à la destruction.

Les Togolais ne veulent pas vendre un voleur pour acquérir un sorcier. Avant de changer le monde, il faut d’abord se changer.

Pareil pour le pouvoir en place où la gloutonnerie financière, d’une minorité appauvrit de jour en jour la population.

Et pour nous le peuple, dont se réclame telle ou telle partie ? Sommes nous étrangers à notre sort ? Je dis non ! Car THOMAS SANKARA nous dit encore aujourd’hui : « L’esclave qui n’est pas capable d’assumer sa révolte ne mérite pas que l’on s’apitoie de son sort. S’il se trompe sur la condescendance des ses maîtres pour l’affranchir il répondra seul devant l’histoire ». L’émergence d’une classe moyenne s’impose. Trêve aux intensions et vite à l’action pour la marche de notre Togo vers le développement.

Son Altesse

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5 janvier 2014

FACTEURS DE LEGITIMATION DU POUVOIR

Le pouvoir légal repose sur une légitimation du pouvoir qui résulte de l’autorité des lois. C'est le seul facteur de légitimation qui puisse être admis de manière rationnelle. Le pouvoir, au sens moderne de nos démocraties, est réglé par un fonctionnement reconnu, qu’assure le jeu des institutions. C’est le seul qui corresponde à l’État démocratique dans ses idéaux, dans la mesure où le citoyen peut rationnellement admettre un pouvoir qu’il a lui-même délégué. Le citoyen se soumet rationnellement à des lois qu’il estime valides pour tous. La légalité repose sur des règles établies de telle manière qu’il est possible d’en rendre raison. Elle suppose implicitement un contrat social que chacun est à même de reconnaître. Une coutume ne se justifie pas, elle ne fait que se répéter ; le charisme en impose, mais il n’a pour lui que sa puissance qui est aussi contrainte, tandis que la loi se discute et se vote. Elle ne contraint pas le citoyen, elle l’oblige, ce qui est très différent. Dans la mesure où l’État se doit de neutraliser la violence, il ne peut le faire en toute rationalité qu’en lui opposant l’autorité des lois. Si l’État exerce une violence, il la justifie aussi par le respect du droit. Le citoyen peut reconnaître l’autorité de la loi et par suite, l’usage de la force au nom du droit. Max Weber admet ainsi que l'État dispose du monopole de la violence légitime.

Le pouvoir politique qui fonde l’État moderne est un pouvoir de droit, sa légitimation vient du consentement collectif dans des lois admises. Cela implique que celui qui exerce le pouvoir de droit n’en n’est pas propriétaire mais seulement dépositaire. J.J. Rousseau dit que le politique est un ministre du peuple. Cette distinction ne peut pas être marquée dans la légitimation de la coutume et du charisme, où, à l’inverse, le souverain est justement senti comme propriétaire du pouvoir. Aussi, en vertu du fondement légal du pouvoir, le souverain n’a pas la liberté d’en user selon son bon plaisir.

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Contruisons le Togo
  • Ce blog a pour objectif d'accueillir des idées pour un développement de notre pays le Togo. Pour ce fait, un regard sera porté sur tous les pans de la vie de notre nation. De la politique en passant par le social, le culturel, il y aura pas de tabou.
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